Pas de vie avant le café

J'ai trouvé une solution unique pour les matins laborieux, ceux où à peine réveillé vous vous prenez les pieds dans le tapis, vous vous envoyez une giclée de dentifrice dans l'oeil et de ceux aussi où une fois la porte du placard ouverte, vous vous aprecevez qu'il n'y a plus de café moulu.

La solution de secours que j'ai trouvé dans un cas comme celui-là est d'avoir du café en grains et un moulin à café manuel de marque Peugeot qui fonctionne parfaitement  video du moulin à café                   

Pour donner un goût chaleureux au café, j'ai une recette qui va bien avec le café moulu à l'ancienne, j'y ajoute des zestes d'orange que je râpe sur le dessus du fruit, le plus finement possible, en les incorporant au mélange le café s'imprègne du goût des zestes d'orange et se parfume.

où j'ai trouvé le moulin à café :

Comment le café est arrivé en France et pourquoi a-t-il un goût de Normandie ?

au 18ème siècle sous le règne de Louis XIV, naquit en 1697 à Dieppe, le chevalier Gabriel de Clieu Dont la famille est originaire de Derchigny en Seine-Maritime. Gabriel perdit ses perents alors qu'il était très jeune. Il suivit des étude à l'école d'hydrographie du Havre et devint garde marine à Rochefort puis à Toulon.

Louis XIV goûta un jour du café que lui avaient offert des Turcs, Il décida d'envoyer Gabriel de Clieu aux Antilles pour faire pousser du café dans ses colonies. Gabriel de Clieu partit avec deux plants de café, C'était en 1720. Lorsqu'il parvint aux Antilles à St Pierre, il ne restait plus qu'un seul plant qu'il fit surveiller nuit et jour.

Sur place, il épousa une créole, puis deux puis trois puis quatre, il vécut jusqu'à l'âge de 80 ans, il y avait à cette époque des mariages d'amour et des mariages de convenance. Il fit édifier des ponts des fortifications des hôpitaux et des fortifications puis retourna en France auprès de sa famille et de son fils issu de son premier  mariage et fut gouverneur de la ville de Dieppe.

Résumé du discours de Michel Lerond lors de son élection à l'académie des sciences des arts et des belles lettres de Rouen

Présentées par Michel Lerond, les données historiques de l’évolution de l’homme dans la nature débutent, il y a 3 millions d’années vers moins 1800 avant JC, à l’époque ou l’homme vivait de la cueillette. Vient ensuite la période de moins 1800 à 1789 (date de la révolution française), où l’homme vit de l’agriculture, puis celle de 1789 à 1969, où nous sommes entrés dans l’ère industrielle pour que vienne enfin la période de 1969 à 2050, où nous somme entrés dans l’ère de la communication. Il fallait  donner des dates… et si tout va bien d’ici 2050, nous serons partis à la conquête de l’espace.

Pour une meilleure représentation de la relation de l’homme avec la nature, quelques chiffres ont été ajoutés à cet exposé concernant, le nombre d’êtres humains en rapport avec les périodes ci-dessus, en Afrique, il y a 3 millions d’années il y avait 1 million d’hommes Africains et 40 000 en Europe, il faudra attendre la fin du 18 éme siècle pour atteindre le milliard d’être humains. C’est en 1969 que l’on en comptera 4 milliards, 9 milliards en 2050, lorsque l’homme tentera l’exploration de son environnement sidéral.

Les grands défrichements sylvestres et l’assèchement des marais ne débutent qu’au  XI éme siècle, l’homme intervient sur la nature dans le but de la maîtriser, pour mieux se protéger jusqu’en 1978 date à laquelle nait le premier bébé éprouvette, un pallier supplémentaire sera franchi dés lors où l’homme intervient sur sa propre nature. De relations conflictuelles, l’homme apprend à vivre en symbiose avec son environnement dans son propre intérêt. C’est dans un premier temps la ressource en eau qui commence à poser problème ainsi que celle en terres agricoles. Voici le dilemme : si nous sommes 9 milliards sur terre et qu’il y a 13 milliards d’hectares cultivables et que nous perdons 60 000 hectares de terres cultivables par an soit l’équivalent d’un département français. Ceci sans tenir compte des perturbations climatiques qui sont devenues une réalité, de gros problèmes vont se poser. De l’opulence d’une société de consommation, nous serons contraints  à court terme à plus de vigilance vis à vis de nos comportements à l’égard de la nature et de nos voisins . » La lutte contre la tyrannie de l’urgence....

Cet article sera modifié, il n'est pas terminé